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Immobilier post-Covid

Immobilier post-Covid

Si la rumeur voudrait que les citadins aient quitté la ville pour la campagne, une étude pilotée par le Réseau Rural Français et le Plan Urbanisme Construction Architecture, tempère l’importance de ce mouvement mais reconnait son existence.

L’enquête « Exode urbain : impacts de la pandémie de COVID-19 sur les mobilités résidentielles » sera publiée en intégralité en septembre prochain mais les premiers résultats montrent qu’il n’y a pas d’exode urbain au sens d’un départ massif de populations hors des villes mais de « petits flux » sortant des pôles urbains en direction de trois types de territoires : les villes de moins de 50 000 habitants, les communes « de couronne » (conséquence d’un desserrement urbain, particulièrement sensible à Paris) et les espaces ruraux.

Ces flux rassemblent des profils très variés : des cadres qui ont généralisé le télétravail, des ménages souhaitant développer une nouvelle activité, des (pré)retraités prolongeant leur séjour dans leurs lieux de villégiatures et des populations à la précarité plus ou moins choisie en quête d’un mode de vie alternatif.

L’étude relève par ailleurs de nouveaux comportements d’investisseurs dans les territoires ruraux qui acquièrent des biens anciens pour se constituer un logement temporaire et le proposer, le cas échéant à la location de courte durée. Les auteurs qualifient ce phénomène de « parisianisation des marchés locaux », « qui se manifeste par des achats sans négociation et des paiements comptants, pratiques peu courantes dans les territoires où les marchés étaient jusque-là détendus. »

 

Consulter les premiers résultats de l’étude sur l’exode urbain

 

 

   

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